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DEMOGRAPHIE VILLE GÉNÉALOGIE ORINEL
DEMOGRAPHIE VILLE
GÉNÉALOGIE ORINEL
Amaury ORINEL, le grand-père, en fait Amaury est le deuxième prénom, le premier étant Mathurin. Il arrive à La Gacilly vers 1770 et devient le sénéchal du marquisat de la Bourdonnaye (Le Claire p. 363) tout en étant avocat à la cour. Il devient également président du général de fabrique de La Gacilly en 1772 (Le Claire p. 374)
Pascal ORINEL le père ; il épousera Anne Marie Coüé de la famille du docteur Coüé. (Voir article Coûé maison 109 1617). Marchand épicier (1m35), il sera maire de La Gacilly de 1815 à 1831 et aura Pierre Étrillars comme adjoint.
Constant ORINEL, le fils, fut d’abord employé de mairie en 1822 (16d22) ; en 1844, alors qu’il est adjoint au maire, Mathurin Robert, il assiste au dépouillement des soumissions reçues lors de l’adjudication des travaux de construction de l’église St-Nicolas.
il sera maire de La Gacilly de 1865 à 1871 tout en étant marchand de fer à La Gacilly.
Le 11 février 1868, le maire, Constant Orinel et son conseil municipal décide la construction d’un débarcadère au Bout-du-Pont mais les travaux ne débuteront que dix ans plus tard, Jean Marie Rouxel étant maire et ils seront réalisés par Vincent Morice. (maison5-1380) .
Armand ORINEL, le frère de Constant était receveur des Contributions Indirectes à Châteauneuf en 1863 puis retraité à La Gacilly en 1872.
Théodore ORINEL, autre frère de Constant ; à sa naissance, le 12 mars 1805, il eut comme témoin Alexandre ORINEL qui était alors secrétaire de mairie à Carentoir. En 1801, ce dernier est surnuméraire au bureau de l’enregistrement à La Gacilly. C’est alors que survient un différend entre lui et Jacques Le Roy, chirurgien à La Gacilly. Celui-ci déclare qu’étant à prendre le frais à sa porte en juillet 1801, survient le citoyen Orinel qui, sans aucun doute et sans qu’on lui eut dit un mot, se met à l’injurier, le traitant de « coquin et de couillon, grinçant des dents etl lui disant qu’il craignait l’as de pique pour ce qu’il n’avait l’as de cœur ». Cité à comparaître, le sieur Orinel, sans doute dégrisé, ne se présente pas à l’audience. Il est condamné par défaut à une amende de trois journées de travail faisant une somme de trois francs.
Marie Sophie Eugénie ORINEL, la petite fille de Pascal et la fille de Ange, propriétaire à Rohan (20n38), épouse Jules Baudouin ; né à St-Servan, il est receveur de l’enregistrement à Malestroit au moment de son mariage en 1883.
Alexandre ORINEL, fille de Louis et de Vincente Éveno, tous les deux décédés en 1857, au décès à La Gacilly de leur gendre François Trégouet né à Sauzon, ancien employé des Contributions Indirectes et âgé de 44 ans.
François Orinel fut maire de Carentoir le 6 janvier 1864 (Journal de Vannes du 9-1-1864